Research Article

Efficacy of oral afoxolaner against Amblyomma maculatum infestations in dogs

Efficacité de l’afoxolaner oral contre les infestations par Amblyomma maculatum chez le chien

¹ Boehringer Ingelheim Animal Health, 29 avenue Tony Garnier, 69007 Lyon, France
² Boehringer Ingelheim Animal Health USA Inc., 1730 Olympic Drive, Athens, GA 30601, USA
³ Clinvet International (Pty) Ltd., P.O. Box 11186, Universitas, Bloemfontein 9321, Republic of South Africa
⁴ Boehringer Ingelheim Animal Health USA Inc., Missouri Research Center, 6498 Jade Rd., Fulton, MO 65251, USA

^* Corresponding author: eric.tielemans@boehringer-ingelheim.com

Received: 6 March 2025
Accepted: 2 June 2025

Abstract

Amblyomma maculatum, the Gulf Coast tick, is a species of significant veterinary and public health importance, especially because it is a vector of important diseases, such as American canine hepatozoonosis and tidewater spotted fever. Amblyomma maculatum infests a wide range of vertebrates including livestock, dogs, cats, and humans. Two experimental studies were conducted to evaluate the efficacy of afoxolaner formulated in an oral tablet (NexGard^®) against induced infestations of A. maculatum in dogs. These Good Clinical Practice (GCP) studies used a randomized, negative controlled and masked design. In each study, 10 dogs were allocated to an untreated group and 10 dogs to a treated group, dosed once on Day 0 with a combination of tablets targeting the minimum therapeutic dose (2.5 mg/kg afoxolaner). Dogs were infested with 50 unfed adult A. maculatum on Days −2, 7, 14, 21, 28, and 35 (Study #1), or on Days −1, 14, and 28 (Study #2). Seventy-two (72) hours after treatment and subsequent infestations, ticks were removed and the numbers of live ticks in each group were used for efficacy calculations. At each time-point, all untreated dogs were adequately infested (i.e., with more than 12 live ticks), demonstrating a vigorous tick population and an adequate study model. The curative efficacy against established infestations, 72 hours after treatment, was 100% in Study #1 and 99.5% in Study #2. The preventive efficacy, 72 hours after the post-treatment infestations, ranged from 94.6% to 98.9% for five weeks in Study #1, and was ≥98.8% for four weeks in Study #2.

Résumé

Amblyomma maculatum, la tique du Golfe du Mexique, est une espèce d’importance vétérinaire et de santé publique considérable, notamment parce qu’elle est vectrice de maladies graves, telles que l’hépatozoonose canine américaine et la fièvre pourprée des marées. Amblyomma maculatum infeste un large éventail de vertébrés, notamment le bétail, les chiens, les chats et les humains. Deux études expérimentales ont été menées pour évaluer l’efficacité de l’afoxolaner sous forme de comprimé oral (NexGard^®) contre les infestations induites d’A. maculatum chez le chien. Ces études, conformes aux Bonnes Pratiques Cliniques (BPC), ont été randomisées, contrôlées par voie négative et en aveugle. Dans chaque étude, 10 chiens ont été répartis en un groupe non traité et 10 chiens en un groupe traité, recevant une dose unique le jour 0 d’une combinaison de comprimés ciblant la dose thérapeutique minimale (2,5 mg/kg d’afoxolaner). Les chiens ont été infestés par 50 A. maculatum adultes à jeun les jours −2, 7, 14, 21, 28 et 35 (étude n° 1), ou les jours −1, 14 et 28 (étude n° 2). Soixante-douze (72) heures après le traitement et les infestations ultérieures, les tiques ont été retirées et le nombre de tiques vivantes dans chaque groupe a été utilisé pour les calculs d’efficacité. À chaque point temporel, tous les chiens non traités étaient adéquatement infestés (c’est-à-dire avec plus de 12 tiques vivantes), démontrant une population de tiques vigoureuse et un modèle d’étude adéquat. L’efficacité curative contre les infestations établies, 72 heures après le traitement, était de 100% (étude n° 1) et de 99,5 % (étude n° 2). L’efficacité préventive, 72 heures après les infestations post-traitement, variait de 94,6 % à 98,9 % pendant cinq semaines dans l’étude n° 1, et était ≥ 98,8 %, pendant quatre semaines dans l’étude n° 2.