Research Article

Cryptosporidium spp. in captive snakes from 26 provinces in China: Prevalence, molecular characterization, and symptoms

Cryptosporidium spp. chez les serpents captifs de 26 provinces de Chine : prévalence, caractérisation moléculaire et symptômes

¹ College of Animal Science and Technology, Anhui Agricultural University, Hefei, Anhui Province 230036, PR China
² Beijing Biodiversity Conservation Research Center, Beijing 100076, PR China
³ School of Forestry and Landscape Architecture, Anhui Agricultural University, Hefei, Anhui Province 230036, PR China
⁴ Hengyuan Animal Hospital, Hefei, Anhui Province 230001, PR China
⁵ Chongmu Pet Clinic, Nanjing, Jiangsu Province 211800, PR China
⁶ Mengdele Pet Clinic, Xiamen, Fujian Province 361021, PR China

^* Corresponding authors: congshanyang@sina.cn (Congshan Yang); zhangqingxun1990@126.com (Qingxun Zhang)

Received: 5 April 2024
Accepted: 19 July 2024

Abstract

Snakes are sometimes regarded as pets and are used in traditional Chinese medicine. Cryptosporidium spp. are frequently identified in snakes, representing an important pathogen and causing gastrointestinal diseases. Current data indicate that risk factors for infection and patterns of clinical symptom presentation may differ among Cryptosporidium spp. To better understand the infection status by Cryptosporidium spp., fecal samples were collected from 603 asymptomatic and 147 symptomatic snakes in 26 provinces of China. These samples came from Elaphe guttata, Elaphe obsoleta, Pituophis melanoleucus, Thamnophis sirtalis, Lampropeltis getulus, and Heterodon nasicus. The partial small subunit (SSU) rRNA gene was amplified using nested polymerase chain reaction (PCR) to investigate the infection rate of Cryptosporidium spp., and to assess evolutionary relationships and genetic characterization. A prevalence of 20% was recorded in asymptomatic snakes, with age identified as a significant risk factor. In contrast, 70% of symptomatic snakes were positive for Cryptosporidium spp., with Cryptosporidium serpentis and Cryptosporidium varanii (syn. C. saurophilum). Further analysis revealed a potential association between C. serpentis and regurgitation, and C. varanii and diarrhea, while neither species was linked to flatulence. To our knowledge, this is the first study to report Cryptosporidium spp. and associated clinical signs in symptomatic snakes in China. This study aims to enhance the understanding of Cryptosporidium infections, risk factors, and clinical manifestations in snakes, providing data crucial for the control and prevention of cryptosporidiosis.

Résumé

Les serpents sont parfois considérés comme animaux de compagnie et sont utilisés en médecine traditionnelle chinoise. Des Cryptosporidium spp. sont fréquemment identifiés chez les serpents, ont un rôle d’agent pathogène important et provoquent des maladies gastro-intestinales. Les données actuelles indiquent que les facteurs de risque d’infection et les schémas de présentation des symptômes cliniques peuvent varier en fonction des espèces de Cryptosporidium. Pour mieux comprendre l’état d’infection par Cryptosporidium spp., des échantillons fécaux ont été collectés auprès de 603 serpents asymptomatiques et 147 serpents symptomatiques dans 26 provinces de Chine. Ces échantillons provenaient d’Elaphe guttata, Elaphe obsoleta, Pituophis melanoleucus, Thamnophis sirtalis, Lampropeltis getulus et Heterodon nasicus. Le gène de l’ARNr de la petite sous-unité partielle (SSU) a été amplifié à l’aide d’une réaction en chaîne par polymérase (PCR) imbriquée pour étudier le taux d’infection par Cryptosporidium spp. et évaluer les relations évolutives et la caractérisation génétique. Une prévalence de 20 % a été trouvée chez les serpents asymptomatiques, l’âge étant identifié comme un facteur de risque important. En revanche, 70 % des serpents symptomatiques étaient positifs à Cryptosporidium spp. avec Cryptosporidium serpentis et Cryptosporidium varanii (syn. C. saurophilum). Une analyse plus approfondie a révélé une association potentielle entre C. serpentis et la régurgitation, et C. varanii et la diarrhée, alors qu’aucune des deux espèces n’était liée aux flatulences. À notre connaissance, il s’agit ici de la première étude à signaler la présence de Cryptosporidium spp. et les signes cliniques associés chez des serpents symptomatiques en Chine. Cette étude vise à améliorer la compréhension des infections à Cryptosporidium, des facteurs de risque et des manifestations cliniques chez les serpents, en fournissant des données cruciales pour le contrôle et la prévention de la cryptosporidiose.