Mémoire

Fine structure of merozoites of Eimeria ? beauchampi Leger and Duboscq, 1917 in Glossobalanus minutus (Kow.) (Enteropneusta)

Étude ultrastructurale des mérozoïtes d'Eimeria ? beauchampi Leger et Duboscq, 1917, Coccidie parasite de Glossobalanus minutus (Kow.) (Enteropneusta).

Catedra de Zoologia de Invertebrados no Artropodos. Departamento de Biologia Animal I Facultad de Biologia. Universidad Complutense, 28040 Madrid, Espana.

Accepted: 27 May 1988

Abstract

Merozoites of Eimeria ? beauchampi Leger and Duboscq, 1917 from the digestive epithelium of the hepatic region of the enteropneust Glossobalanus minutus (Kow.) have been studied by electron microscopy lor the first time. The merozoites show typical coccidian features with a trilaminate pellicle, an apical polar ring, a conoid with two accessory rings, micronemes, and two rhoptries whose ductules are directed along a central intra-conoidal microtubule, above which a spherical vesicle occurs. Approximately 50 subpellicular microtubules run from the apical end to the nuclear region of the parasites. Lipid droplets, amylopectin granules and a large mitochondrion also occur in the cytoplasm. The presence of a refractile-like body is a remarquable feature of the merozoites studied. The present data are discussed in the light of the available literature.

Résumé

Les mérozoïtes d’Eimeria ? beauchampi Leger et Duboscq, 1917 trouvés dans l’épithélium hépatique (digestif) de l’entéropneuste Glossobalanus minutus (Kow.) ont été étudiés pour la première fois au microscope électronique à transmission. Les mérozoïtes montrent des caractéristiques typiques des Coccidies, avec une paroi trilamellaire, un anneau polaire apical, un conoide avec deux anneaux accessoires, micronèmes et deux rhoptries dirigées le long d’un microtubule central surmonté d’une vacuole sphérique. Environ 50 microtubules subpelliculaires partent de la région apicale vers la région du noyau. Des globules lipidiques, granules d’amylopectine et une grande mitochondrie sont aussi présentes dans le cytoplasme. La présence d’un corpuscule réfractile dans ces mérozoïtes constitue une caractéristique qui mérite d’être soulignée