Mémoire

Parasites of the relict fauna of Ceylon

IX. Helminths from burrowing scincine lizards

Parasites de la faune relicte de Ceylan. IX. Helminthes, parasites de lézards scincinés fouisseurs

NARESA-SAREC Zoological Survey of Sri Lanka and Department of Zoology, University of Peradeniya, Peradeniya, Sri Lanka.

Accepted: 3 June 1988

Abstract

A trematode and nematodes are reported for the first time from endemic burrowing scincines of Sri Lanka, namely the cosmopolitan trematode Mesocoelium monas (Rudolphi, 1819) from the small intestine of Nessia burtoni ; and the nematodes Kalicephalus brachycephalus Maplestone, 1931 from the stomach of Nessia smithi ; and Meteterakis sinharajensis Crusz and Ching, 1976 and Parapharyngodon adamsoni sp. nov., both from the large and small intestines and rectum of Chalcidoseps thwaitesi, N. burtoni, N. didactyla and N. smithi. The new species is distinguished from other species of the genus mostly by the relatively small size ; very short and characteristically shaped male caudal appendage, which is generally about half the length of the spicule ; and the very close, almost fused, ventral arrangement of the pair of papillae on it, which is the last of four pairs of male caudal papillae. There is also more evidence of burrowing herpeto-fauna having parasites similar to those, but much reduced in number and variety, of sympatric non-burrowing forms, from which it was derived.

Résumé

Un trématode et des nématodes ont été découverts pour la première fois chez des scincinés fouisseurs, endémiques à Sri Lanka. Ont été identifiés le trématode cosmopolite Mesocoelium monas (Rudolphi, 1819) dans l’intestin grêle de Nessia burtoni ; les nématodes Kalicephalus brachycephalus Maplestone, 1931 dans l’estomac de Nessia smithi et Meteterakis sinharajensis Crusz et Ching, 1976 et Parapharyngodon adamsoni sp. nov., dans le côlon, l’intestin grêle et le rectum de Chalcidoseps thwaitesi, N. burtoni, N. didactyla et N. smithi.

L’espèce nouvelle diffère des autres espèces du genre par la taille relativement petite ; l’appendice caudal du mâle très court, de forme caractéristique, mesurant à peu près la moitié de la longueur du spicule ; la disposition de la dernière paire de papilles caudales, presque fusionnées ventralement.

Il apparaît à nouveau que l’herpétofaune fouissante a des parasites semblables aux parasites des formes sympatriques non fouissantes dont elle dérive ; cependant, ces parasites sont réduits quant au nombre et quant à la variété.