Mémoire

Ultrastructure of the Oocyst wall formation in Eimeria? beauchampl Leger and Duboscq, 1917 a Coccidian parasite of Glossobalanus minutus (Kow.) (Enteropneusta, Hemichordata)

Ultrastructure du développement de la paroi de l’oocyste d’Eimeria ? beauchampi Leger et Duboscq, 1917, Coccidie parasite de Glossobalanus minutus (Enteropneusta, Hemichordata)

Cátedra de Zoologίa de Invertebrados no Artrόpodos, Departamento de Biologίa Animal I, Facultad de Biologίa, Universidad Complutense, 28040 Madrid España.

Accepted: 3 February 1988

Abstract

The ultrastructure of the developing oocyst of Eimeria? beauchampi Leger and Duboscq, 1917 was studied from the ventral digestive epithelium of the hepatic region of Glossobalanus minutus (Enteropneusta). A possible building mechanism of the oocyst wall is deduced and discussed from the present data and the available literature. During oocyst wall formation a total of 5 membranes were observed at or near the surface of the parasite among which some wall-forming materials will be stored. The origin and fate of such wall-forming materials are discussed and compared with data from other coccidians. The apparently full-formed wall is made up of an outer, dense layer, a median layer showing a labyrinthic-tubular lattice substructure, and an inner, homogeneous and osmiophilic layer. A micropyle measuring 0.35 µm in diameter is also described.

Résumé

L’ultrastructure de l’oocyste d’Eimeria ? beauchampi Leger et Duboscq, 1917 a été étudiée au cours de son développement dans l’épithélium digestive de la région hépatique chez Glossobalanus minutus (Entéropneuste). Le mécanisme de la formation de la paroi de l’oocyste est décrit. Au début du processus de formation, 5 membranes sont présentes autour de l’oocyste. Divers matériels se déposent ensuite dans la paroi, leur origine et leur emplacement final sont discutés et comparés avec d’autres Coccidies. Finalement la paroi de l’oocyste est constituée d’une fine couche externe osmiophile, d’une épaisse couche médiane à structure réticulée et d’une couche interne homogène et dense aux électrons. Un micropyle d’un diamètre de 0,35 µm est aussi décrit.