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Ann. Parasitol. Hum. Comp.
Volume 46, Number 1, 1971
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Page(s) | 109 - 118 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/parasite/1971461109 | |
Published online | 11 October 2017 |
Revue critique
Renicolid Trematodes (Digenea) from the renal tubules of Birds
The American Museum of Natural History, Central Park West at 79th Street, New York 24, New York.
The genus Renicola Cohn, 1904, was based on Monostoma pingue (Mehlis in Creplin, 1846) ; it is cosmopolitan in distribution and species have been found in the kidneys of birds belonging to various families. Cercaria rhodometopa, Pérez, 1924, has a similar excretory system and the rhodometopous cercariae have been regarded as renicolid larvae, although attempts at experimental infections have so far proved futile. Cable (1963) reported that certain plagiorchid cercariae are larvae of renicolid species and postulated that species of Renicola may have two types of cercariae, either rhodometopous or plagiorchid larvae. Stunkard (1964) described plagiorchid cercariae from Thais lapiltus and their development in the renal tubules of gulls, Larus argentatus, to adults that were identified as a new species, Renicola thaidus. He noted that these cercariae are similar to others from Littorina spp., viz., Cercaria parvicaudata, Stunkard and Shaw, 1931, and Cercaria roscovita, Stunkard, 1932. Werding (1969) reported that metacercariae of C. roscovita developed in the kidneys of L. argentatus to adults identified as Renicola roscovita (Stunkard, 1932). He suggested the identity of C. roscovita and C. parvicaudata. Robson and Williams (1970) identified cercariae from Littorina littorea as Cercaria A ; the larvae agreed morphologically with C. roscovita, but attempts to infect juvenile L. argentatus, ducklings, chicks and various laboratory mammals failed. Repeated attempts by the writer to infect L. argentatus and other birds with metacercariae of C. parvicauda have given only negative results. The systematic position of the rhodometopodous cercariae is enigmatic, but the inclusion of such morphologically diverse types as the plagiorchid and rhodometopodous cercariae in a single genus controverts ideas of generic unity.
Résumé
Le genre Renicola a été créé par Cohn en 1904 à partir de l’espèce Monostoma pingue (Mehlis in Creplin, 1846). Sa distribution est cosmopolite et les espèces connues ont été trouvées dans les reins d’Oiseaux appartenant à diverses familles.
Cercaria rhodometopa Pérez, 1924 possède un système excréteur très semblable, et les cercaires rhodométopes ont été considérées comme les formes larvaires des Rénicolides, bien que toutes les tentatives d’infestation expérimentale aient jusqu’à présent échoué.
Cable (1963) a signalé que certaines cercaires plagiorchides sont également des formes larvaires de Rénicolides, et il admet que les espèces de Renicola peuvent avoir deux types de cercaires, soit rhodométopes, soit plagiorchides.
Stunkard (1964) a décrit des cercaires plagiorchides de Thais lapillus, et il a obtenu leur développement en adultes appartenant à une espèce nouvelle, Renicola thaidus, dans les tubules rénaux du goëland, Larus argentatus. Il a observé que ces cercaires étaient semblables à d’autres provenant de Littorina spp., viz., Cercaria parvicaudata Stunkard et Shaw, 1931 et Cercaria roscovita Stunkard, 1932.
Werding (1969) rapporte que les métacercaires de C. roscovita se sont développées en adultes identifiés à Renicola roscovita, (Stun- kard, 1932), dans les reins de L. argentatus. Il suggère l’éventuelle identité entre C. roscovita et C. parvicaudata. Robson et Williams (1970) désignent les cercaires de Littorina littorea sous le nom de Cercaria A. Ces cercaires ressemblent morphologiquement à C. roscovita ; mais les essais d’infestation de jeunes L. argentatus, de canetons, de poussins et de divers animaux de laboratoire se sont soldés par des échecs. Des tentatives répétées, effectuées par l’auteur, pour infester L. argentatus et d’autres oiseaux avec des métacercaires de C. parvicaudata ont donné des résultats négatifs.
La position systématique des cercaires rhodométopes est énigmatique ; toutefois, inclure dans le même genre des types morphologiquement aussi distincts que les cercaires plagiorchides et les cercaires rhodométopes est manifestement contraire au concept de l’unité générique.
© Masson, Paris 1971, transferred to Société Française de Parasitologie
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