Mémoire

Host response and biologie differentiation of Nippostrongylus brasiliensis

Laboratory of Parasitic Diseases and Biochemistry, University of Ife, Ile-Ife, Nigeria.

Abstract

Group experiments in which rats infected with Nippostrongylus brasiliensis larvae of 8, 14, 21, 28 and 35 days of age subcutaneously, intravenously, intraperitoneally and orally were carried out.

An evaluation of the host response to the development of the parasite was compared. The reduced number of eggs production and the gradual loss of worms between the groups illustrate a decreasing larval infectivity with an increasing larval age.

Analysis of results and data collected from development of these various larval age in the rat host and the in vitro tests show that the filariform larvae indeed need oxygen and utilize blood oxygen for development and eggs production. The percentage of larvae introduced orally reaching maturity was very small. A possible adverse effect of disintegrated worms in the peritoneal cavity, increase enzymes activity coupled with the sensitivity of the hosts reaction to the infective worms orally injected are associated with the poor response and survival in the rats infected by these two routes.

Résumé

Des expériences de groupe dans lesquelles des rats ont été infectés par des larves Nippostrongylus brasiliensis âgées de 8, 14, 21, 28 et 35 jours par voie sous-cutanée, intraveineuse et intrapéritonéale ont été entreprises.

On a comparé l’évaluation de la réponse de l’hôte au développement du parasite. La réduction du nombre des œufs produits et la perte progressive des vers entre les groupes montre un abaissement de l’infectivité larvaire, résultat de l’augmentation de l’âge des larves.

On a vu, par l’analyse des résultats et des données fournies par l’âge du rat-hôte et les expériences in vitro que les larves filariformes ont vraiment besoin d’oxygène et utilisent l’oxygène du sang pour se développer et produire des œufs. Le pourcentage des larves introduites oralement, qui parviennent à maturité est très faible. La réponse et 1a survie décevante obtenues chez les rats infectés par voie orale et péritonéale s’expliquent par l’effet nocif produit par la présence de vers dégénérés dans la cavité péritonéale, par l’augmentation de l’activité enzymatique et par la sensibilisation de l’hôte à l’infection vermineuse.